3 ans après leur troisième album studio ‘Sounds Like Murder’ (2016) – ils ont également commis un premier album en 2013 sous le titre ‘The Lover’ puis un second ‘Destroyer’ (2014) alors produit par Matt Bayles (Isis, Mastodon, Minus The Bear…) et qui les avait vu explorer leur facette la plus alt-rock/hardcore/mathcore/prog’ à la Converge, Every Time I Die, Faith No More, Dillinger Escape Plan et même Tool – les Ukrainiens de Septa (avec des membres de The Nietzsche) sortent demain 22 novembre un quatrième opus long-format intitulé ‘Bitten by the Serpent of the Kingdom of the Spirit’, en digital exclusif sur Bandcamp et les plateformes numériques légales habituelles.

Un nouvel effort enregistré en compagnie de Lewis Johns (Employed To Serve, Palm Reader, Rolo Tomassi…) pour lequel, le groupe – qui à la base se revendique comme un mélange de Deftones, Dillinger Escape Plan et Norma Jean, emmené par Mike Patton – monte cette fois un visage plus alternative-rock/post-hardcore/progressif et des influences à aller chercher du côté d’Oceansize à Tool en passant par Opeth et Mastodon, pour un résultat que l’on peut dès à présent écouter en intégralité et en avant-première juste à la suite.

Pour les précisions, l’album est à la fois inspiré du livre ‘Der Golem’ de Gustav Meyrink et par le film expressionniste muet The Monster Of Fate (1915), lesquels racontent tout deux à peu près la même histoire, héritée de la mythologie juive, à savoir celle du golem, une créature faite d’argile destinée à protéger son créateur et dans le même temps à être symbole de la volonté de donner vie à quelque chose d’inanimé tout en étant en parallèle une métaphore du libre-arbitre.

 

 

A propos de l'auteur

Big boss/grand-mamamushi, God(e) ceinture et mite en pull-over. (je fais aussi le café et les photocopies)

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