Au rayon des pépites de classe mondiale, du genre qui nous saisissent à la gorge (ou au choix l’épiderme/l’amygdale) sans pouvoir nous lâcher ce après simplement quelques secondes, la scène anglo-saxonne a toujours su nous cajoler, nous réservant régulièrement de petites merveilles du genre.

On pense – dans des registres divers – à des groupes comme A Burial At Sea, Death Goals, Employed To Serve, Flies Are Spies From Hell, Sugar Horse ou encore Tacoma Narrows Bridge Disaster…, mais ça c’était avant la grosse claque de l’année 2023 à la rédaction soit Din of Celestial Birds.

Le groupe vient en effet et coup sur coup de faire une apparition scénique remarquée sur les planches du fameux festival ArcTanGent pour défendre en live son tout premier album baptisé ‘The Night is for Dreamers’ sorti au cœur de l’été en CD, LP & Digital par l’intermédiaire des labels  A Cheery Wave Records & A Thousand Arms (Girih, Glaston, Jeffk, The Color Of Cyan…).

Un disque évoluant à la croisée des (micro)-sillons entre Barrens, Explosions In the Sky, God Is An Astronaut, Maybeshewill, Mono ou Russian Circles, que l’on peut par conséquent se procurer en versions physiques/numériques par ici, mais également écouter en intégralité juste à la suite.

 

A propos de l'auteur

Big boss/grand-mamamushi, God(e) ceinture et mite en pull-over. (je fais aussi le café et les photocopies)

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