Quintet emo/post-hardcore/screamo originaire de la région de Boston, USA et revendiquant assez clairement ses influences à aller chercher du côté de Caspian, Loma Prieta, Pianos Become The Teeth, Frameworks ou encore Touche Amore, Dreamwell n’a officiellement vu le jour qu’à l’automne 2016 et rapidement s’est mis à composer en vue de livrer un premier effort.

Initié par Ramsay Young et un ami d’enfance Ryan Couitt, tous deux déjà impliqués ensemble dans l’aventure du groupe Sentry, le groupe complète son line-up avec les arrivés du duo Justin Soares & Anthony Montalbano (deux membres de feu-The Radley Tree) puis avec celle d’un cinquième larron Connor McCullough (A Constant Knowledge of Death, Vivid Illusion..). Démo ? EP ? La question reste posée jusqu’à ce que le groupe se rende compte qu’il avait écrit assez de matériel pour enregistrer un album complet.

Quelques semaines de sessions studio plus tard, c’est au début de l’été que Dreamwell a pu mettre la touche finale à ‘The Distance Grows Fonder’, son tout premier album long-format qui sortira le 8 septembre en CD & Digital autoproduit et dont deux premiers extraits audio complets se découvre juste ci-dessous.

 

‘The Distance Grows Fonder’ est un album qui parle de l’acceptation : l’acceptation de soi, celle des autres, de la douleur, de l’amour et le soulagement, la libération. Le nom de l’album vient de l’expérience d’une vie de douleur passée loin des êtres aimés que ce soit physiquement ou émotionnellement ; et du reste le morceau-titre de évoque l’expérience de votre disparition et le ressenti de ceux que vous laissez derrière vous.

In fine, chaque morceau offre un angle, une fenêtre de vue sur la thématique général de l’album afin d’en offrir une expérience globale.

 

A propos de l'auteur

Big boss/grand-mamamushi, God(e) ceinture et mite en pull-over. (je fais aussi le café et les photocopies)

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