Notamment composé d’actuels ou ex-membres des groupes Defeater et Verse, Death Of Nation (post-hardcore-punk US engagé) – remarqué l’été dernier avec un premier extrait de son travail baptisé « Don’t Speak For Me » – vient de sortir son tout premier EP digital éponyme avec l’appui du toujours aussi excellent label de leurs compatriotes No Sleep Records (Able Baker Fox, Drug Church, La Dispute, The Casket Lottery, Touche Amore, etc…).

Un effort inaugural mis en ligne sur Bandcamp et dont l’intégralité du produit des ventes générées sera reversé à la Providence Youth Student Movement – une fondation dont l’objectif est de garantir et protéger dans leur ville de Providence (dont les membres sont originaires) les droits des communautés originaires de l’Asie du Sud-Est, « quelque-soit le genre, les croyances, les convictions, la situation sociale (dont les plus précaires) », notamment les jeunes, les femmes et les homosexuel(les).

Nous sommes allés sur le terrain pour prendre le du tissu associatif de nos rues et avons demandé à un large panel d’activistes locaux, d’associatifs ce qu’ils pensaient de ces organisations militant en faveur des droits de la jeunesse dans notre ville. Il était pour nous important d’en savoir plus sur ces groupes et associations actifs dans ces domaines à Providence.

Nous avons grandi à une époque où pas mal des problématiques dont s’occupe PRYSM n’étaient pas vraiment considérées. Pour nous il est indispensable que continuent de travailler ainsi des organisations protégeants des jeunes qui pourraient facilement devenir des proies de la violence des grandes villes.

Cela revient à offrir une vraie chance, de survie mais aussi de futur pour ces jeunes. C’est cela que fait PRYSM et nous respectons infiniment cela, autant d’un strict point de la solidarité normal qu’un d’un point de vue plus personnel.

A propos de l'auteur

Big boss/grand-mamamushi, God(e) ceinture et mite en pull-over. (je fais aussi le café et les photocopies)

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