Les sessions de rattrapage, ce n’est pas que pour les sorties 2016 (qu’on a entre parenthèses pas mal épuisées) : ça marche aussi pour celle de cette année, qui touche à sa fin et qui nous rappelle qu’on a raté quelques belles pépites et que notre radar n’est pas toujours infaillible.

Ou l’occasion idéale donc d’évoquer le cas de DVNE, ce quartet prog’/rock/metal/sludge anglo-saxon aventureux (ils sont originaires de la région d’Edimbourg) et dans la veine de Crippled Black Phoenix, Inter Arma, YOB ou Tool, dont le dernier album en date ‘Asheran’, a vu le jour en CD, LP & Digital au début de l’été via Wasted State Records.

Les versions vinyles de la bestiole sont pour l’instant épuisées mais on nous susurre dans l’oreillette que quelque chose se prépare du côté du label au rayon LP alors que dans l’immédiat, l’album se découvre en écoute intégrale dans la suite.

 

Au niveau des influences : il y a tellement de bonnes choses provenant de tant de scènes lourdes différentes, et nous ne voulons pas nous limiter à l’une d’entre elles.

C’est ce dont ‘Asheran’ parle musicalement et nous avons fini par en faire un album conceptuel parce que les morceaux qui le composent découlent naturellement les uns dans les autres…

En termes de ‘récit’, l’histoire est fortement inspirée par certains des films du Studio Ghibli, en particulier Nausicaa de la Vallée du Vent et Princesse Mononoke. Ainsi, le thème central de l’album se concentre sur les luttes d’une civilisation pour vivre en harmonie avec son environnement. (Victor, DVNE)

A propos de l'auteur

Big boss/grand-mamamushi, God(e) ceinture et mite en pull-over. (je fais aussi le café et les photocopies)

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